La prestation compensatoire prend, par principe, la forme d’un capital. Elle n’est fixée qu’à titre exceptionnel sous forme de rente. Le règlement de ce capital peut intervenir sous différentes formes : versement d’une somme d’argent, en une ou plusieurs échéances, sans que ces dernières ne puissent excéder une durée de 8 années, abandon d’un bien commun ou propre au débiteur de la prestation compensatoire, etc. Les modalités de paiement de la prestation compensatoire sont nombreuses et induisent une fiscalité variable. Ce dernier aspect, comme ses incidences patrimoniales pour chaque époux, imposent une solution sur mesure que l’avocat, professionnel qualifié, est en mesure de proposer. Là encore, la procédure de divorce par consentement mutuel, satisfait au mieux cet objectif en autorisant des modalités de paiement plus variées que celles qui peuvent être ordonnées par le Juge.